Aktorin
Nombre de messages : 50 Date d'inscription : 09/02/2011
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| Sujet: Ecrits d'Aktorin Jeu 17 Fév 2011 - 7:53 | |
| Maintenant que je ne suis plus chez les ménestrels, il va falloir que je trouve un autre endroit ou mettre mes contes ! Je commence donc par mettre ceux la en lignes, que j'avais écrits pour l'anniversaire de Léviathan. Tout mes textes sont pensées en bloc de 255 caractères maximum, afin de pouvoir être mis dans des macros. Contes de l'anniversaire des deux ans du Léviathan- Ouverture:
Je ne sais pas comment Léviathan pris son nom, Mais c'est lui qui aujourd'hui nous a réuni Et c'est donc de lui que ce soir nous parlerons Car un jour je le vis et en revint en vie.
Nous étions vingt-et-un dans cette expédition, Marins, érudits, bardes et aventuriers, Mener par le capitaine Angrim Forthoublon, Tous unis par le commun désir d'explorer.
L'expédition très vite vira au cauchemar Et nous serons quatre à la fin de mon histoire, Car au-delà des terres, l'océan infinie A perdu le reste de notre compagnie.
Mais avant d'entamer le cœur de mon histoire, Je propose une entracte pour laisser s'exprimer Un membre de ma guilde à travers son récit Que je le laisse conter devant vous ce soir.
Notons que pour l'instant, je n'ai mis que la trame principal. Comme on peut le voir sur les phrases de transitions, je pensais être accompagné ce soir la, ce qui ne fût finalement pas le cas. J'ai trouvé celui d'Ashlyn, en revanche celui d'Odrem, qui m'avait fait un conte façon naine a disparu. Tant pis, je completerais avec quelques-un des mines un peu plus tard. 18/02/11 : Hop ! Petite correction de quelques fautes grossière, et d'une ou deux versification douteuse, avant que Darius ne critique !
- La vengeance:
La vengeance, sentiment nihiliste, est le plus grand vice d'un être. Ainsi lorsque la guerre ravage un pays, faisant mille morts et blessés, nombres décide d'en rajouter, en décidant de ce venger.
C'est ainsi que périrent les plus grand chevaliers, suivant ce qu'ils appelaient honneur, et défiant la logique dans leur vengeance. Allant même jusqu'à affronter milles ennemies plus fort qu'eux, ils moururent pour une cause dénué de sens.
Est-je besoin de vous dire le nombre de morts que provoquèrent tels sentiments ? Bien souvent la mort de cela même qui les portent, mais le pire est lorsqu'une vengeance est mené a son terme.
Ainsi naquit la guerre contre la terrible horde, par l'action d'un roi vindicatif, maltraité par les orcs durant sa captivité, et qui par sa rancune, tue plus d'innocent qu'une conscience ne devrait pouvoir en supporter.
Car ainsi va le monde. Le sang apelle le sang, la mort entraine la mort. L'être est un loup pour l'être.
Ce texte était une réponse rp a une discussion ayant eu lieu un peu plus tôt... Dommage, je ne me souviens pas l'avoir lu devant lui.
- L'ennui du croisé:
Tout commença par l'ennui d'un croisé, Andrich Brilleflamme. Ils étaient redoutés des vilains, lui et ses compagnons. Chaque soirs, ils partaient à l'assaut des bastions du mal. Ils étaient les meilleurs.
Une organisation solide et sans défauts les rendaient plus efficace que l'armée même, de la horde comme de l'alliance. Tel une mécanique bien graissé, une machine implacable, rien ne leur résistaient.
Chaque soir, une victoire. Chaque soir, ils s'amélioraient. Chaque soir, de nouvelles portes. Chaque soir, de nouveaux monstres. Chaque soir, de nouveaux trésors. Tel un rouage bien huilé. Un parfait système.
Sa vie n'était que ça. Il ne connaissait d'autres joies que la ferveur du combat, l'extase de la victoire. Toute sa vie. Tel le parfait élément qu'il était. Il partait heureux de combattre. Il était heureux. Toute sa vie.
Mais un jour arriva où il compris. Il regarda sa vie et comprit qu'elle n'était rien. Il comprit qu'il n'était qu'un rouage. Qu'il ne connaitrait jamais la vraie liberté, dépendant de cette mécanique qui l'écrasait.
Il voulait mieux. Il voulait partir. Voir autre chose. Explorer de nouveaux horizons. Alors il partit. Il dit à sa guilde qu'il voulait des vacances. Mais au fond de lui, il savait qu'il ne reviendrait pas.
Alors il partit. Il réunit un équipage et des érudits. Il voulait partir. Loin. Il monta une expédition dans les océans. Loin de toutes terres. Il pensa même à prendre un chroniqueur.
Et c'est ainsi que nous partîmes, en quête de rien, a la recherche du lointain. Mais faisons une pause dans mon récit, je laisse la parole à mon amie.
J'ai tenté de créer un effet répétitif afin de produire un effet de lassitude. C'est quelque chose que tout joueur régulier peut comprendre, et je trouve que ça rapporte plutôt bien le sentiment de lassitude du aux limites du jeu...
- Ode a la chevalerie:
A vous grands chevaliers, réceptacle de gloire, Je vous dédie ces vers, et mon admiration. Vos joutes et combats nourrissent nos passions, Vos idéaux vertueux nous amènent l'espoir.
Dans un concours épique, aidé de la lumière, Vous évincez le faible et devenez plus fort Sans jamais oublier de combattre les morts, Usant de vos épées dans une juste guerre.
La croisade vous forment a être les élites, Fort et entrainés, meilleurs parmi les croisés, Qui vaincrons le roi liche la même ou il s'abrite.
L'appel de la croisade vous a tous réunis, Et armés de vos lames bientôt vous partirez Mettre a bas le roi liche, mettre fin a sa vie.
18/02/11 : Correction de quelques versifications douteuses. Ce texte était destiné a faire partie d'une série de texte sur le tournoi d'argent et le combat face au roi liche. Finalement, j'ai préféré garder les différents contes séparés.
- En quête du lointain:
Qu'elle était belle la mer que sillonnait notre majestueux navire ! Sa couleur de saphir et ses vagues gracieuses, au travers desquels nageait les baleines !
L'air du grand large était revigorant et il fallait voir le plaisir que prenais notre croisé à le respirer ! Chaque jour était pour lui une source de plaisir et il ne ce lassait pas d'admirer l'océan toute la nuit durant.
L'ambiance était au beau fixe. L'équipage entier prenait plaisir à cette expédition. Jamais navire ne c'était enfoncé plus loin dans l'océan ! Nos âmes aventurières étaient comblées, et nul ne songeait au passé.
Les érudits observaient les animaux marins, les aventuriers faisaient de la plonger et chassaient les nagas un peu trop téméraire. L'absence de terre ne nous manquaient même pas. Nous goûtions chaque jour de nouvelles variétés de poisson !
Cependant, il fallut que l'idylle s'arrête un jour. Nous étions déjà si loin des terres, lorsque nous sentîmes le danger. Nous sentîmes que nous avions été trop loin, là ou nul mortel jamais ne devrait aller. Mais il était trop tard.
Nous sentions tous la présence, au loin, d'un infini pouvoir. Bien plus ancien que le panthéon et peut-être même que les dieux anciens. Mais rien ne nous arrêterais. Dans notre quête de lointain, nous avancerions.
Je ne saurais probablement jamais ce qu'était ce pouvoir. Ce qu'était cette infini puissance que nous sentîmes alors. Les mages affirmaient que ce n'était pas arcanique et je sais que ce n'était ni d'ombre, ni de lumière.
Ce que je sais, c'est qu'ici que prenais fin notre voyage. Mais je vous conterais la fin plus tard, je délègue la parole à mon assistante, afin de vous offrir un répit avant de continuer mon récit.
Ce texte a mon gout un défaut, c'est qu'il empiète sur le poème qui suit... Certes, c'était intéressant pour introduire, mais il mériterait d'être corrigé.
- Muses naturelles:
Heureux qui, comme moi, au terme d'un beau jour, Alors qu'il ce régale du gracieux chant du vent, Le doux bruit de la terre, va plus loin et entend Doucement murmurer des paroles d'amour Qu'aux oreilles ils susurrent, au barde passionné.
Ah ! Éléments, mes muses, que le temps n'affaiblit, Source d'inspiration, Genèse poétique, Nul ne peut contester votre ultime esthétiques, Votre seuls existence donne sens a ma vie. Oh, vent mon Erato, et terre ma Calliope !
Par un vœu de piété j'ai souhaité chasteté Et je n'aurais jamais une muse humaine Ni la joie des amours ou bien même leurs peines, Seul les élémentaires et leur grande beauté.
18/02/11 : Correction de quelques versification douteuse. J'avais fait celui la en tentant de reproduire le modèle de mon ancien poème de présentation, qui avait beaucoup plus. De plus, il change de mes poèmes habituel, plutôt composé de quatrains. Je trouves qu'il rend très bien !
- Léviathan:
Nombreux furent les signes pour annoncer le drame. La fantastique force du pouvoir au lointain, Le jour fuyant les cieux, laissant place à la nuit, La mer agitée, comme un avertissement.
Malgré tout cela, nous gardions notre enthousiasme. Mais lorsque nous le vîmes, notre joie s'évanouit. Il était la puissance que nous avions sentis. Il surgit soudain des eaux, majestueusement.
Il ouvrit sa gueule d'où criaient un millier d'âmes Hurlant a l'unisson leurs souffrances sans fin Pour qu'on les délivrent des douleurs infinis Sans savoir qu'elles étaient mortes depuis longtemps.
Une voie ce fît entendre dans notre crâne : « Vous irez les rejoindre, pour assouvir ma faim, Vous regretterez d'être venu jusqu'ici Et vous en souffrirez durant l'éternité »
/prier
Ce dont je me souviens, c'est qu'après nous priâmes. Nous vîmes léviathan bondirent et puis... Plus rien. L'entité surpuissante s'était évaporé, Et nous étions à nouveau sur le continent.
C'est grâce a un mage que nous nous téléportâmes À temps pour échapper a ce fléau marin. Malheureusement, dix des notre avaient péris. Mais je vais laisser ma place, il est plus que temps.
/e fait signe a Ashlyn de prendre sa place.
18/02/11 : Correction de quelques versification douteuses, ainsi que de quelques répétitions. Je me suis appuyé sur quelques images croisé sur Wikipédia, et l'idée du Léviathan comme porte vers les enfers. Le poème est trop court pour parfaitement coller a l'idée que j'en avais, mais il est malgré tout plutôt pas mal.
- Le conte d'Ashlyn:
Je vais vous conter l'histoire d'un noble paladin ayant combattu aux côtés du célèbre Uther.
Il aimait passionnément et follement sa femme, Lys, Dont il avait deux enfants. Mais Morgan Ladimore fut appelé à la guerre de Lordaeron. Il partit le cœur déchiré, à ce champs de mort.
Il les laissa dans leur demeure, pensant qu'ils y seraient en sécurité. Il ne s'imaginait pas à quel point il avait tort.
Là-bas, il y vit les pires atrocités. Cependant l'espoir de retrouver un jour sa dame et ses enfants le faisait vivre.
Mais quand il rentra dans sa terre natal, de grands changements l'attendaient. Les forêts si verdoyantes avaient été corrompus. Les morts-vivants étaient partout. Et surtout...
Son foyer était vide et en ruine. Il se rua vers la ville, se nommant maintenant Sombre-comté. Ses êtres chers et aimés n'y étaient pas. Ni même le moindre renseignement.
Alors un prêtre lui dit « Tu devrais chercher parmi les pierres tombales du cimetière aux corbeaux, je suis vraiment désolé pour vous... » Mais Morgan se refusait à le croire.
Le paladin fouilla toute la région, excepté le cimetière. Finalement, il chevaucha son destrier pour rejoindre comté-du-lac, dans l'espoir qu'ils s'y soient réfugiés. Toutefois, il passa au lieu mortuaire.
L'humain y chercha de nombreuses heures. Au fur et à mesure, trouvant des gens de sa connaissance, son espoir s'amenuisait.
Jusqu'au moment ou il trouva trois tombes, dans un petit coin mal entretenu. La peur l'envahit alors. Il s'approcha et frotta la poussière et y découvrit gravé en grosse lettre
Lys Ladimore Épouse et mère bien-aimée.
Une douleur... inimaginable le saisit. La guerre... ce n'était rien à côté de cela. Il tomba à genoux et fondit en larme, restant là pendant des heures, implorant son pardon.
Une sensation, un picotement, une étincelle, un saignement provenant du coeur... une folie meurtrière l'emporta. Il dégaina son épée et frappa avec violence les pierres tombales en poussant des hurlements.
Dans sa fureur, il tua trois fossoyeurs qui, attiré par les cris, tentèrent de le calmer. Lorsque que Morgan redevint lui-même et vit qu'il avait dans sa frénésie transpercé de son épée les trois corps, le désespoir l'anéantit.
Il ce saisit de son poignard afin de se le planter dans le cœur.
Cependant son âme ne trouva pas la paix en la mort. Il erre à présent dans le cimetière aux corbeaux, sous le nom de Mor'ladim, massacrant tout être vivant de son champ de vision.
Comme précisé dans le nom, celui la n'est pas de moi, mais du membre qui m'avais promis de venir. Enfin, déjà elle m'avait envoyé son conte retravaillé selon mes conseils, ça lui a au moins permis d'être la en esprit !
- Clôture:
Mon cher et aimé publique. Il se fait tard et notre inspiration n'est pas sans limite.
J'ai encore bien sûr de nombreuses histoires dans mes chroniques, mais que serait nos histoires si on vous les contaient toutes en un soir ?
Notre travail ici est donc terminé, et il est temps de se séparer. Mais avant d'oublier, il serait d'usage de souhaiter un bon anniversaire aux Leviathans !
Sur ce, je laisse la place a ceux qui désirent éventuellement prendre la place pour leurs propres créations.
/incliner Créations relatives au concours Leviathan- Thématique : Les loups garous:
Approches jeune enfant, ne crains rien. Si tu n'as pas le droit de me parler, je ne t'y obligerai pas. Je sais que les parents conseillent toujours de ne pas parler aux étrangers et ils ont bien raisons, aussi ne parle pas et écoute mon histoire.
Je suis un aventurier. J'ai voyagé a travers de nombreux pays et affronté mille dangers, j'ai pourfendu plus de monstres que tu n'en as vu dans ta vie, et j'en tuerais encore.
Je pensais mourir un jour sous les griffes d'un dragon, ou bien dévoré par une abomination... Mais le plus terrible danger que j'ai affronté fût bien différent de ce que j'imaginais.
Connais-tu les worgens ? Oui. Je vois a ton visage ce que ce nom t'évoques. C'est une créature possédant une magie druidique déformée, corrompue par le cauchemar, et incapable de maîtriser tout a fait ses pouvoirs.
Sais-tu maintenant qu'il existe d'autres créatures, affligées de la même malédiction que les worgens, mais ce transformant non pas en loup, mais en d'autres animaux ? Rares, très rares sont ceux qui le savent.
Pourtant, j'en est rencontré. Il y en a partout, dans toutes les royaumes de l'est, et même quelques-un a Kalimdor. Et encore, je ne les ai pas tous vus.
Aux Maleterres, certains trolls corrompus ce transforment en ours pestiférés a la nuit tombée... Ce n'est pas beau a voir.
Aux hautes terres d'Arathi, certains kobolds ce métamorphosent en terribles araignées, dressées sur leurs deux jambes, et dont les toiles d'acier peut engluer même une personne de ma taille !
A Dun Morogh, certains béliers ce transforment en être similaire aux Yétis. Comme quoi, la transformation ne ce fait pas que de l'humanoïde vers l'animal.
A Ellwynn, certains fermiers utilisent leurs forme de sangliers-garou pour ravager le champ du voisin !
Et j'ai même entendu parler de perdus prenant l'apparence de végétaux dans les marais du chagrin...
Ce genre de monstre ne manque pas. Et pourtant, le plus terrible de tous n'est pas l'un de ceux que je t'ai cité. Il est bien plus puissant et redouté. Il ce cache parmi nous.
On le nomme «la bête de Hurlevent». On la voit rarement, et c'est presque une légende. Mais elle existe. On ne la voit que lorsqu'elle a faim. Moi, je l'ai vu, et je suis devenu comme elle.
C'est a cause de tels créatures qu'il ne faut pas parler aux étrangers. Ni même les écouter en fait, tu aurais mieux fait de rentrer chez toi, sans t'arrêter. Car vois-tu, je suis un crocodile-garou, et il est trop tard pour crier.Pour ce récit, je m'étais inspiré d'un livre lu dans Morrowind, l'un de mes jeux préférés. J'ai juste adapté l'histoire a wow, aux loups garous. J'aurais un peu plus poussé le dialogue, mais la limite de caractère m'a poussé a laisser comme ça. JE vous met le lien vers le livre en question, pour ceux que ça intéresse : Sang immortel
- Thème : Poésie sur le printemps, l'automne, la nature ou le vin.:
Il n'était qu'un goblin, vil cupide et chétif, Dont la petite taille l'empêchait de voir plus Que sa propre personne et l'état de ses comptes.
Chaque jour il grognait, s'excitait et pleurait Pour la moindre petite pièce de monnaie, Et il n'espérait rien tant que d'en avoir plus.
Un soir, fatigué d'y avoir trop travaillé, Il s'allongea dans l'herbe et regarda le ciel, Au moment ou un astre s'arrêtait lui aussi.
Il ce regardèrent, et l'astre dit au goblin : « Bien souvent je t'ai vu, bouger, manger, dormir. Tu ne prends pas le temps pour regarder autours.
Ecoute mon conseil. Fait donc comme les astres : Réfléchis, prend ton temps. Ne fait plus que penser. Regardes bien le monde, et tente de le comprendre.
Ainsi, a l'image des astres, qui lorsqu'ils meurent, Libèrent leurs pensées, créant une nova, Ta pensée par sa force, ébranlera le monde. »
Le goblin écouta, et il fit comme ça. Pour la première fois de toute sa courte vie, Il prit vraiment son temps, et réfléchit ses actes.
Pendant plusieurs années, ce fût comme une transe, Et finalement, il pensa tant et si bien, Qu'il inventa la toute première fusée.
Puis il en vit les intérêts financier. Et il fonda alors la zone 51. Ainsi notre nature nous rattrape toujours.
Celui la j'étais bien a côté de la plaque au niveau thématique. J'avais préparé ça dès que j'avais entendu parler de la soirée, mais les contraintes n'étaient pas fixés. Puis, j'ai eu quelques soucis avec d'autres tentatives pour mieu coller avec la thématique, et finalement, je suis revenu sur celui la.
Dernière édition par Aktorin le Jeu 21 Avr 2011 - 23:35, édité 8 fois | |
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